Des femmes s’opposent à Boko Haram
Elles se disent solidaires à la campagne « Bring back our girls ». C’était au cours de la 1ere édition de la journée internationale du voile célébrée le 29 mai 2014 à Douala.
[bring-back-our-girls] Le port du voile par les femmes musulmanes n’est pas fantaisiste. C’est une loi prophétique pour « protéger l’œuvre d’Allah. On devrait arrêter de nous stigmatiser en nous voyant avec le voile. Nous ne sommes pas des démons dans cet habillement. Ce n’est pas une fantaisie, on respecte juste la loi », rappelle Aïssatou Kpoumié. Cette femme musulmane participe, comme nombre de ses sœurs, à la première édition de la journée mondiale du voile au Cameroun organisée par la Fondation Princesse Khadidja.
Près de deux milles (2000) femmes ont pris à cet évènement. Elles venaient de plusieurs associations des musulmanes et de la ligue des femmes catholiques du Cameroun. L’occasion s’y prêtant, elles en ont profité pour exprimer leur ras-le-bol vis-à-vis de la secte islamique Boko Haram. Laquelle sévit ces derniers mois dans la partie septentrionale du Nigeria et du Cameroun. A cet effet, « Les femmes musulmanes et chrétiennes sont affectées par les dégâts physiques et moraux, conséquences des actes de barbarie perpétrés par les terroristes qui ont pour seul moyen de communication la haine et la destruction », souligne Hajj Adidja Mbomiko Yenou, présidente de la Fondation Princesse Khadidja.
A travers « la déclaration de Douala », musulmanes et chrétiennes du Cameroun se disent « solidaire de la mobilisation nationale et internationale par le biais du cri « Bring back our girls ». Une campagne lancée à la suite du rapt de deux cents (200) lycéennes nigérianes afin d’exiger leur libération immédiate. Puisque « lesmusulmanes du Cameroun sont révoltées par les rapts perpétrés au Cameroun et notamment celui du père Georges enlevés au mois de Novembre 2013 », dixit Hajj Qdidja Mbomiko Yenou. Dans le même sillage, les femmes condamnent la pensée unique, toutes les formes d’intégrisme et toutes les attitudes de non-respect de la dignité humaine.
[bring-back-our-girls] Le port du voile par les femmes musulmanes n’est pas fantaisiste. C’est une loi prophétique pour « protéger l’œuvre d’Allah. On devrait arrêter de nous stigmatiser en nous voyant avec le voile. Nous ne sommes pas des démons dans cet habillement. Ce n’est pas une fantaisie, on respecte juste la loi », rappelle Aïssatou Kpoumié. Cette femme musulmane participe, comme nombre de ses sœurs, à la première édition de la journée mondiale du voile au Cameroun organisée par la Fondation Princesse Khadidja.
Près de deux milles (2000) femmes ont pris à cet évènement. Elles venaient de plusieurs associations des musulmanes et de la ligue des femmes catholiques du Cameroun. L’occasion s’y prêtant, elles en ont profité pour exprimer leur ras-le-bol vis-à-vis de la secte islamique Boko Haram. Laquelle sévit ces derniers mois dans la partie septentrionale du Nigeria et du Cameroun. A cet effet, « Les femmes musulmanes et chrétiennes sont affectées par les dégâts physiques et moraux, conséquences des actes de barbarie perpétrés par les terroristes qui ont pour seul moyen de communication la haine et la destruction », souligne Hajj Adidja Mbomiko Yenou, présidente de la Fondation Princesse Khadidja.
A travers « la déclaration de Douala », musulmanes et chrétiennes du Cameroun se disent « solidaire de la mobilisation nationale et internationale par le biais du cri « Bring back our girls ». Une campagne lancée à la suite du rapt de deux cents (200) lycéennes nigérianes afin d’exiger leur libération immédiate. Puisque « lesmusulmanes du Cameroun sont révoltées par les rapts perpétrés au Cameroun et notamment celui du père Georges enlevés au mois de Novembre 2013 », dixit Hajj Qdidja Mbomiko Yenou. Dans le même sillage, les femmes condamnent la pensée unique, toutes les formes d’intégrisme et toutes les attitudes de non-respect de la dignité humaine.