Fin de la 16ème session du Conseil national de la route
Le Premier ministre, chef du gouvernement, Philémon Yang, a présidé hier la 16ème session du Conseil national de la route (Conaroute) en présence des membres statutaires de cette instance. Les travaux qui ont duré deux heures et demie étaient essentiellement consacrés à l’évaluation des programmes définis en 2013 et l’examen des chantiers de 2014.
Parmi les programmations de 2014 qui ont été abordées au cours des travaux du Conaroute, figurent la construction de l’autoroute Yaoundé – Nsimalen ; la construction du deuxième pont sur le Wouri et les dix premiers tronçons de l’autoroute Douala-Yaoundé ; l’ouverture de 215 Km de collecte et de desserte. Au ministre délégué à la présidence de la République chargé des Marchés publics, il a été recommandé de capitaliser l’expertise de structures nationales comme le Labogénie et la Mission de promotion des matériaux locaux (Mipromalo) dans la construction des infrastructures routières et la fabrication des intrants routiers homologués pour rendre moins onéreux les dépenses de l’Etat dans ce secteur.
Au cours de l’années 2013, sur le plan quantitatif, on a appris que le ministre de l’agriculture a contribué à l’ouverture de 44Km de pistes agricoles de collecte et de desserte, la réhabilitation de 106 Km de piste de collecte et de desserte, ainsi que la construction et la réhabilitation de 13 ouvrages de franchissement pour un coût total de 903 millions de F CFA. Pour les réalisations des programmes routiers placés sous sa tutelle, c’est près de 6821 Km de pistes de collecte et de desserte qui ont été également entretenues. Sur un autre point, le Conaroute a indiqué que l’opération « contrôle-surveillance-répression » des infractions à la circulation a contribué à la réduction de 30% des accidents mortels sur les routes depuis son lancement en 2011 et permis au trésor public d’engranger 1,038 milliard de F CFA.
De son côté, le ministère des Travaux publics, avec les 352,7 milliards de F CFA mobilisés en 2013, a permis la construction de 196Km de routes bitumées, la réhabilitation de 148Km de celles-ci , ainsi que la réhabilitation de 1500 Km de routes rurales ; l’entretien de 7800 Km de routes principales, 3628 Km de routes bitumées, 500 Km de routes rurales prioritaires et le suivi de près de 2300 chantiers.
Parmi les programmations de 2014 qui ont été abordées au cours des travaux du Conaroute, figurent la construction de l’autoroute Yaoundé – Nsimalen ; la construction du deuxième pont sur le Wouri et les dix premiers tronçons de l’autoroute Douala-Yaoundé ; l’ouverture de 215 Km de collecte et de desserte. Au ministre délégué à la présidence de la République chargé des Marchés publics, il a été recommandé de capitaliser l’expertise de structures nationales comme le Labogénie et la Mission de promotion des matériaux locaux (Mipromalo) dans la construction des infrastructures routières et la fabrication des intrants routiers homologués pour rendre moins onéreux les dépenses de l’Etat dans ce secteur.
Au cours de l’années 2013, sur le plan quantitatif, on a appris que le ministre de l’agriculture a contribué à l’ouverture de 44Km de pistes agricoles de collecte et de desserte, la réhabilitation de 106 Km de piste de collecte et de desserte, ainsi que la construction et la réhabilitation de 13 ouvrages de franchissement pour un coût total de 903 millions de F CFA. Pour les réalisations des programmes routiers placés sous sa tutelle, c’est près de 6821 Km de pistes de collecte et de desserte qui ont été également entretenues. Sur un autre point, le Conaroute a indiqué que l’opération « contrôle-surveillance-répression » des infractions à la circulation a contribué à la réduction de 30% des accidents mortels sur les routes depuis son lancement en 2011 et permis au trésor public d’engranger 1,038 milliard de F CFA.
De son côté, le ministère des Travaux publics, avec les 352,7 milliards de F CFA mobilisés en 2013, a permis la construction de 196Km de routes bitumées, la réhabilitation de 148Km de celles-ci , ainsi que la réhabilitation de 1500 Km de routes rurales ; l’entretien de 7800 Km de routes principales, 3628 Km de routes bitumées, 500 Km de routes rurales prioritaires et le suivi de près de 2300 chantiers.