La Fondation MTN soutien des orphelins à l’Est du Cameroun

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Les pensionnaires du Centre d’accueil de la Fondation Marie France ont reçu la visite des Amis de la Fondation MTN le 22 février 2014. « Peu importe ce que vous vivez, sachez que vous êtes aimés », message de réconfort apporté par les Amis de la Fondation MTN aux enfants du centre d’accueil de la Fondation Marie France à Bertoua.

En plus des paroles, les Amis de la Fondation MTN ne sont pas venus les mains vides. Pour l’occasion, le Centre a reçu d’une part du matériel tel que : cuisinière, téléviseur, des matelas, draps… et d’autre part des produits de première nécessité tels que riz, sucre, lait, savons… La cerise sur le gâteau fut ces pochettes surprises qui ont arraché des sourires aux enfants pensionnaires du Centre. 
« Voir ces petits visages s’illuminer, avoir pu apporter à travers la Fondation MTN ce petit moment de joie est très gratifiant » se réjoui Charly Djandamba, Amie de la Fondation MTN. 
Au nom des Amis de la Fondation MTN, Alexandra Atoabe a remercié les encadreurs du Centre d’accueil, pour l’amour et l’affection qu’ils offrent à ces enfants. Au-delà de l’instruction dispensée, ces encadreurs sont « des pères et des mères et cela n’a pas de prix», a relevé Alexandra Atobe. Elle a également encouragé les enfants à donner le meilleur d’eux afin de devenir « des modèles de réussite, des hommes et des femmes respectés dans la société ».
Le Délégué départemental des Affaires sociales du Lom et Djerem et son équipe ont rehaussé la cérémonie par leur présence, apportant ainsi l’onction de l’Etat à l’action menée. Le Délégué n’a pas hésité à remercier la Fondation MTN pour toute l’attention accordée aux enfants vulnérables du Lom et Djerem. Elle a conclu ses propos par le vieil adage « qui dit merci, demande d’avantage ». 
La Fondation Marie France est le fruit du dynamisme et de la volonté de sa promotrice, Mandari Marie France qui a toujours manifesté le désir de se mettre au service de l’enfant en difficulté et des personnes du troisième âge en leur offrant un cadre familial et légal au sein duquel « ils peuvent s’épanouir et s’affranchir d’un désespoir dû aux vicissitudes de l’existence ».